Girl Power on bikes

Inge Baelen : (moto de rêve : BMW R nineT Scrambler)

Adolescente, je voulais déjà rouler à moto. Sans avoir d'exemple autour de moi. Ça doit être génétique (rires).

Saschia De Rudder : (moto de rêve : BMW M 1000 RR)

Mon père, qui est motard, m'emmenait avec lui quand j'étais enfant. C'est à ce moment-là que ça a commencé à me démanger de rouler à mon tour. J'ai parcouru mes premiers mètres sur un terrain vague avec la moto de mon père, une Yamaha TDM 850. Et dès que j’ai pu, j'ai passé mon permis moto.

Katrijn Vermeulen : (moto de rêve : BMW F 900 R)

Moi, c'est mon partenaire. C'est un motard passionné et j'étais toujours assise derrière lui. Parmi nos amis motards, il y a aussi beaucoup de femmes. La décision de prendre le guidon moi-même a donc été facile à prendre.

Tinneke De Smedt : (moto de rêve : BMW R nineT Scrambler)

C'est une envie qui est là depuis que je suis enfant. Personne dans ma famille ou mon cercle d'amis ne m'a montré la voie. Au début, j'ai rencontré une certaine résistance, mais j'ai persévéré et, malgré un méchant accident, je ne le regrette pas une seconde. Je n'étais pas en tort et rien n’a pu m'empêcher de remonter en selle.

Sarah Lefevre : (moto de rêve : BMW F 900 XR)

Quand j'avais 16 ans, mon grand frère roulait sur une Kawasaki Ninja et je m'asseyais derrière lui. Pas vraiment confortable, mais soit (rires). Il aimait aussi le motocross, dont je me suis intéressée depuis.

Charlotte Versmissen : (moto de rêve : BMW R 1250 RS)

J'ai toujours pensé qu’une femme à moto, c'était vraiment cool et original. Et c’est ça qui me plaisait.

Ann Blommaert : (moto de rêve : BMW R nineT Scrambler)

Tout a commencé il y a 4 ans, avec une balade en Vespa. Mon mari y a pris goût. Et puis tout s'est passé très vite. Quelques mois plus tard, mon mari a eu sa première moto. « Ce ne serait pas chouette si on pouvait faire le faire ensemble ? », telle était son idée. Comme cadeau d'anniversaire, j'ai reçu une formation à la VTB-VAB. Et peu de temps après, il n'y avait pas une, mais bien deux motos dans notre garage.

Ann Blommaert :

La liberté est ce qui a de plus important. Et aussi l'ambiance entre motards et le plaisir de rouler sur les petites routes.

Tinneke De Smedt :

Les sensations, les manœuvres, les virages. Toujours apprendre pour devenir encore meilleure. Nous avons un petit groupe de personnes qui ont les mêmes idées, qui roulent à peu près à la même vitesse et qui, au-delà de la moto, ont beaucoup à offrir. Grâce à de nombreuses années d'expérience, vous développez votre propre style de conduite. Avec ma première moto, un racer, je roulais très différemment. Aujourd’hui, je roule plus calmement et je peux mieux anticiper. Nous évitons les autoroutes, mais parfois apparaît une belle et longue courbe. Et ça donne vous envie de « sortir le grand jeu », ah oui ! (rires)

Katrijn Vermeulen :

Pour moi, c'est avant tout la liberté. Vous allez où vous voulez, vous pouvez vous garer n'importe où, vous n'êtes pas coincé dans les embouteillages. Et oui... parfois la vitesse. Et le vent qui souffle dans les cheveux sous le casque. (rires)

Saschia De Rudder :

Le sentiment de liberté est vraiment unique. Et les autres motards seront certainement d'accord : il n'y a pas d'autre moyen de transport qui vous donne ce sentiment particulier. Chaque sortie en moto est une nouvelle aventure, un voyage où l'on découvre souvent des endroits et des gens sympas. Et bien sûr, le fait de pouvoir contourner les embouteillages pour ne pas perdre un temps précieux est également un atout important.

Saschia De Rudder :

Pour l'instant, je n'utilise ma moto que pour aller au travail ou sortir le week-end. Je n'ai pas encore fait de vacances à moto, mais c'est en haut de la liste de mes envies !

Charlotte Versmissen :

J'utilise ma moto le plus possible. Avant de travailler chez BMW Motorrad, je ne l'utilisais que pour le plaisir, mais maintenant je la prends aussi pour mes déplacements quotidiens. Et aussi pour éviter les embouteillages, évidemment !

Sarah Lefevre :

Pour l'instant, je continue à prendre des cours de moto, mais ce sera surtout pour des voyages d'agrément je pense. Et plus tard, on verra (rires).

Ann Blommaert :

Dès que je peux, je fais de la moto, en hiver comme en été. Travail, voyage ou vacances, la moto est toujours là pour moi. Oui, je crois que j'ai attrapé le virus (rires).

Inge Baelen :

Ça n'a pas vraiment d'importance pour moi. Il n'est pas nécessaire que ce soit loin. Certaines régions des Ardennes sont à couper le souffle !

Sarah Lefevre :

J'ai découvert en Espagne des régions où l'asphalte semble avoir été fait spécialement fait pour les motards !

Katrijn Vermeulen :

Nous aimerions beaucoup parcourir un jour les côtes écossaises. Les paysage et les vues ont l’air magnifiques. Bien sûr, il faudra tenir compte d’une météo souvent imprévisible.

Tinneke De Smedt :

Avec deux amis, nous rêvons d'aller sur l'île de Man. De préférence pendant la période où se déroule le Tourist Trophy, une célèbre course de motos. Nous aimerions vivre complètement l'événement et tester le parcours de la course.  

Saschia De Rudder :

Dans le cadre de mon emploi précédent, j'ai été autorisée à assister au lancement média de nouveaux modèles de motos BMW. C'est à cette occasion, en Andalousie, que j'ai roulé dans les montagnes pour la première fois, avec beaucoup de motards expérimentés. Quand je repense à ce voyage, j'ai envie de sauter sur ma moto et de repartir illico ! Un voyage dans les Alpes autrichiennes est aussi sur la liste de mes souhaits. Une belle destination avec des virages difficiles au milieu de sublimes paysages de montagne. La liberté sans limite sur deux roues !

Tinneke De Smedt :

Je trouve qu’une moto doit avoir le bon gabarit. Pas trop grande, pas trop petite, pas trop lourde, pas trop légère, le centre de gravité au bon endroit... Le poids ne devrait jamais être un obstacle pour ne pas choisir la moto.

Katrijn Vermeulen :

Ces dernières années, il y a de plus en plus de femmes qui ont adopté la moto. Les femmes peuvent aussi être « tough ». Yes we can ! (rires). La prise de conscience que ce n'est pas la moto qui est dangereuse, mais que vous êtes responsable de la vitesse à laquelle vous roulez, fait également beaucoup. En plus, ces dernières années, l'accent a été mis sur la sécurité, comme l'ABS, les vêtements de moto féminins... C'est définitivement la bonne direction.

Inge Baelen :

Je conduis maintenant la R nineT Scrambler parce qu'elle est tout simplement fantastique. La selle en cuir en combinaison avec le moteur boxer et la couleur de la carrosserie, la position assise... C'est tout à fait mon truc ! Donc pour moi, c'est la moto parfaite pour toutes les femmes !

Sarah Lefevre :

Une moto peut encore être un peu encombrante et lourde pour certaines femmes. Peut-être que les motos pourraient être fabriquées avec des matériaux plus légers ? Et peut-être pourrait-il avoir des campagnes incitant plus de femmes à rouler à moto ?

Charlotte Versmissen :

Oui, je le pense également. On ne voit pas assez de femmes motocyclistes dans les médias en ce moment. Parce que les femmes ont tout à fait leur place dans le monde de la moto. Que ce soit clair !

Ann Blommaert :

Absolument. Alors, allez mesdames, prenez le guidon vous-même. C’est tellement plus amusant que d'être assise à l'arrière !